vendredi 1 octobre 2010

SLA: la grande question pour les nouveaux venus dans le Cloud Computing

Les entreprises hésitent à aller vers le Cloud en raison de la complexité de leurs contrats de niveau de service (SLA). Les acteurs du Cloud cherchent à évacuer le ciel des problèmes liés au SLA.

La fonction informatique a eu sa dose de conférences, présentations, de retour d'expériences sur le Cloud. La phase de la découverte est révolue. Certaines ont déjà franchi le cap d'une façon ou d'une autre.

Les Services Level Agreement (SLA) dissuadent certaines entreprises de passer au Cloud Computing, du moins pour le moment.

Ce qu'on appelle SLA en entreprise devient Quality of Service (QoS) dans le Cloud. Le plus souvent, cet indicateur va déterminer la proportion des services informatiques à faire migrer vers le Cloud.

Beaucoup d'entreprises ont l'impression que passer au Cloud est synonyme de « perte de contrôle sur l'infrastructure » et fait courir le risque de voir certaines données vitales disparaître. Aussi, la plupart des entreprises craignent de confier leurs applications vitales au Cloud.

De l'autre côté, les acteurs du Cloud Computing n'ont de cesse de répéter que leurs infrastructures ont été conçues en tenant comptes des problématiques spécifiques aux SLA. Certains promettent même une disponibilité supérieure à ce qu'elle serait si l'informatique était hébergé dans les locaux du client.